En 2023, une année de contrastes et de défis pour la justice sociale et la diversité, j’ai démarré l’année en publiant «Le monde est injuste, et alors ?« , co-écrit avec Clotilde Boudet. Paru il y a un an le 12 janvier 2023, cet ouvrage explore les origines de la colère politique dans une société marquée par les inégalités et les clivages sociaux, offrant un message d’espoir face aux jugements et à l’entre-soi persistants. En 2024, je hausse le ton et les enjeux. « Le monde est injuste, et alors ? » ne sera pas qu’un écho dans le vide, mais un appel à l’action. Je naviguerai entre cynisme et espoir pour dénoncer chaque faux pas et célébrer chaque avancée.
L’année 2023 s’est fini sur une note amère.
La loi française sur l’immigration, adoptée le 19 décembre 2023, a cristallisé les tensions, mettant en lumière les divisions sociopolitiques profondes. Elle a imposé des restrictions sur les prestations sociales pour les non-européens et renforcé les conditions de régularisation des travailleurs sans-papiers, révélant les défis croissants pour l’intégration et la justice migratoire.
Parallèlement, le Prix Nobel 2023 a vu une légère augmentation de la représentation féminine, avec des lauréates telles que Claudia Goldin et Narges Mohammadi. On applaudit la légère montée des femmes sur le podium, mais on est encore loin du compte, Avec seulement 6,7% de femmes lauréates depuis 1901, les progrès restent timides. Les droits des femmes ont connu des avancées et des reculs. L’Espagne a introduit un congé menstruel, une première en Europe, tandis que la lutte pour l’avortement s’est intensifiée aux États-Unis. En Afghanistan, les droits des femmes continuent de se détériorer sous le régime taliban. Ces exemples mettent en évidence la nécessité constante de défendre les droits des femmes à l’échelle mondiale.
La crise israélo-palestinienne, avec l’escalade des tensions en octobre 2023, a rappelé l’urgence d’adresser les conflits longs et complexes à travers le dialogue et le respect des droits humains.
Dans un monde où la violence semble être la réponse facile, il est crucial de rappeler que cibler des civils innocents n’est jamais justifiable, que ce soit par le Hamas ou les forces israéliennes.
En 2024, je m’engage à être encore plus alignée avec mes valeurs. En tant que citoyenne et humaine, je refuse de rester silencieuse ou de détourner le regard.. Je ne suis peut-être pas Wonder Woman, mais je compte bien faire ma part . Je m’engage à agir à ma propre échelle pour faire une différence.
Mon engagement se traduira notamment via mes entreprises Afervescence et ma société d’investissement, et à travers mon association Cap Métissage.
Avec Afervescence, une agence de conseil marketing, et ma société d’investissement, je promeus l’émancipation féminine dans le monde professionnel. Mon association Cap Métissage valorise la mixité socioculturelle.
Mes résolutions pour 2024 sont claires :
- Éducation et sensibilisation continue sur les enjeux de diversité et d’injustice sociale.
- Soutien actif aux mouvements et organisations luttant pour l’égalité et la justice.
- Engagement personnel pour dénoncer les injustices et promouvoir des politiques plus inclusives et équitables.
Je vous invite à vous joindre à moi pour réfléchir à vos propres résolutions afin de contribuer à un monde plus juste et diversifié. Notre engagement collectif est crucial pour faire face aux défis présents et futurs.
Résolutions pour un monde plus juste: Engagements personnels pour la mixité socioculturelle en 2024
- Tania Gombert
En 2023, une année de contrastes et de défis pour la justice sociale et la diversité, j’ai démarré l’année en publiant «Le monde est injuste, et alors ?« , co-écrit avec Clotilde Boudet. Paru il y a un an le 12 janvier 2023, cet ouvrage explore les origines de la colère politique dans une société marquée par les inégalités et les clivages sociaux, offrant un message d’espoir face aux jugements et à l’entre-soi persistants. En 2024, je hausse le ton et les enjeux. « Le monde est injuste, et alors ? » ne sera pas qu’un écho dans le vide, mais un appel à l’action. Je naviguerai entre cynisme et espoir pour dénoncer chaque faux pas et célébrer chaque avancée.
L’année 2023 s’est fini sur une note amère.
La loi française sur l’immigration, adoptée le 19 décembre 2023, a cristallisé les tensions, mettant en lumière les divisions sociopolitiques profondes. Elle a imposé des restrictions sur les prestations sociales pour les non-européens et renforcé les conditions de régularisation des travailleurs sans-papiers, révélant les défis croissants pour l’intégration et la justice migratoire.
Parallèlement, le Prix Nobel 2023 a vu une légère augmentation de la représentation féminine, avec des lauréates telles que Claudia Goldin et Narges Mohammadi. On applaudit la légère montée des femmes sur le podium, mais on est encore loin du compte, Avec seulement 6,7% de femmes lauréates depuis 1901, les progrès restent timides. Les droits des femmes ont connu des avancées et des reculs. L’Espagne a introduit un congé menstruel, une première en Europe, tandis que la lutte pour l’avortement s’est intensifiée aux États-Unis. En Afghanistan, les droits des femmes continuent de se détériorer sous le régime taliban. Ces exemples mettent en évidence la nécessité constante de défendre les droits des femmes à l’échelle mondiale.
La crise israélo-palestinienne, avec l’escalade des tensions en octobre 2023, a rappelé l’urgence d’adresser les conflits longs et complexes à travers le dialogue et le respect des droits humains.
Dans un monde où la violence semble être la réponse facile, il est crucial de rappeler que cibler des civils innocents n’est jamais justifiable, que ce soit par le Hamas ou les forces israéliennes.
En 2024, je m’engage à être encore plus alignée avec mes valeurs. En tant que citoyenne et humaine, je refuse de rester silencieuse ou de détourner le regard.. Je ne suis peut-être pas Wonder Woman, mais je compte bien faire ma part . Je m’engage à agir à ma propre échelle pour faire une différence.
Mon engagement se traduira notamment via mes entreprises Afervescence et ma société d’investissement, et à travers mon association Cap Métissage.
Avec Afervescence, une agence de conseil marketing, et ma société d’investissement, je promeus l’émancipation féminine dans le monde professionnel. Mon association Cap Métissage valorise la mixité socioculturelle.
Mes résolutions pour 2024 sont claires :
- Éducation et sensibilisation continue sur les enjeux de diversité et d’injustice sociale.
- Soutien actif aux mouvements et organisations luttant pour l’égalité et la justice.
- Engagement personnel pour dénoncer les injustices et promouvoir des politiques plus inclusives et équitables.
Je vous invite à vous joindre à moi pour réfléchir à vos propres résolutions afin de contribuer à un monde plus juste et diversifié. Notre engagement collectif est crucial pour faire face aux défis présents et futurs.
Résolutions pour un monde plus juste: Engagements personnels pour la mixité socioculturelle en 2024
- Tania Gombert